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Gen Tahir Guinassou:
Secretaire a la Defense de l'UFDD
  Vendredi 16.01.09 Tchad : Un commandant proche de la famille dictatoriale d’un secteur de 100 Toyota avec un effectif de 1500 éléments installé récemment sur l’axe Massaguet-N’goura sur ordre de Deby est en contact permanant avec les éléments de RFC. Veulent-ils rejoindre le RFC? Affaire à suivre… <> Malgré l’état dans lequel il était, Hinda la première dame a voulu et insisté que son mari donne une interview sur les ondes de RFI démentant les spéculations sur la santé de ce dernier mais le despote n’était pas en mesure de réaliser son intervention sur les antennes de la radio. Bye bye Deby. <> Jeudi 15.01.09 Tchad: L’occasion est en or pour le General le jeune Abderahim Bahar de renverser et remplacer son oncle le malade Idriss Deby a la mode Guinéenne et négocier avec la rébellion. Nous vous assurons le soutient de tous les jeunes et les tchadiennes et tchadiens vous seront reconnaissants. <> Le dictateur Idriss Deby semble avoir un malaise. Priez s’il vous plait pour qu’il ne se recouvre plus. Ameen. <> Avec la pénurie du fagot de bois et du charbon, plusieurs restaurants ferment leurs portes dont le reste utilisent le gaz pour la cuisine tout en élevant le prix de leurs plats. <> Mercredi 14.01.09 Tchad : Très cher(e) Ab. Votre question sur les identités des infiltrés est très pertinente et nous respectons votre curiosité. Nous craignons que la réponse à votre question compromettra la sécurité de nos envoyés et leurs informateurs car donner des précisions sur des informations très sensibles exposera les origines des ces renseignements. Tout ce qu’on puisse dire, cette personne est un officier supérieur dans l’Armée de Deby. Nous nous excusons de ne pas pouvoir vous satisfaire et nous vous remercions pour votre compréhension. <> Mardi 13.01.09 Tchad :La situation sécuritaire dans l'est est imprévisible avec des incidents isolés. Renforcement de la sécurité dans la zone de Dogdoré où des gendarmes supplémentaires ont été déployés ; des attaques de bandits (appartenant a la milice de Deby) ont forcé des ONG à se retirer laissant près de 30 000 déplacés sans aide. Epidémie de rougeole ; à la semaine 1 de 2009, un total de 345 nouveaux cas et 1 décès a été notifié. L'OMS appuie les activités de réponse. <> Un officier supérieur du rétrograde dictateur Idriss Deby dit qu’ils ont pu infiltrer beaucoup des espions dans la rébellion. Leur nombre dépasse une centaine de personnes. En tant que « rebelles », 21 parmi eux ont pu avoir une formation très avancée des armes sophistiquées et acquirent des informations très confidentielles. Une dizaine de ces infiltrés viennent de retourner á leur maitre en fouillant la rébellion par une voiture et perçant jusqu'à N’Djamena sans arrêt. <> Les cousins du dictateur tchadien Idriss Deby déguisés en coupeurs de route ont fait un massacre de plusieurs passagers tchadiens sur plusieurs voitures dans la région de Bokoro (Province de Chari-Baguirmi) pour les déposséder de leurs biens. <> Le dictateur Erythréen avait donné un « bon » conseil à son homologue le tyran tchadien Idriss Deby lors de sa dernière visite. « Si les civiles se mêlent de la politique, cela veut dire que leur ventre est plein. Comme plus de 99% des tchadiens ne vous aiment pas, il faut les plonger sans remord dans une terrible misère avec une souffrance aigue jusqu'à ce qu’ils arrêteront de parler de la politique » dit-il le retardé mental Erythréen Issayas Afeworrki. <> Le dictateur Deby, le sauvage au cerveau « d’argile » qui veut appliquer à la lettre ce conseil gratuit, est sur le point d’interdire l’importation du riz au Tchad dans les jours à venir dans le but de forcer les tchadiens à oublier de parler ou de se mêler de sa politique de régression et désolation. <> Première fois dans l’histoire du monde, des humains utilisent l’excrément d’ânes pour préparer leur thé. Le coût du sac d’excrément dépasse 4000 F cfa présentement à N’Djamena due à l’interdiction du charbon.
 

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 12:58

La scène se déroule au Tchad. Au nord d'Ounianga-Kébir, à environ 800 kilomètres au nord-est de N'Djaména, un exercice de sauvetage aéroterrestre (SATER) simule l'éjection d'un pilote de Mirage F1 CR dans une zone désertique. Voyage au cœur de cette opération.

16h00, lundi 14 décembre 2009. L'éjection est vitale. Le pilote de chasse actionne la poignée. Il ne reprend ses esprits que vingt minutes plus tard et ressent une douleur intense à la cheville et au dos. Un Mirage F1 CR tourne au-dessus de sa tête. Il s'agit de son équipier qui tente de le localiser mais n'y parvient pas. Sans aide de la part du pilote au sol, c'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Il commence par allumer sa balise de détresse et grâce à la petite radio « PRC112G », il établit un contact radio et transmet ses coordonnées précises à son équipier. Alors que ce dernier met le cap sur lui, il l'illumine à l'aide de son miroir de sa poche. S'engage alors, par radio, un dialogue pour fournir les informations nécessaires aux équipes en charge de sa récupération et du traitement de l'épave (coordonnées du pilote et de l'épave, état de santé, raisons de l'éjection...).

16h30 : l'équipier du pilote éjecté passe le relais à l'avion ravitailleur, un Boeing C135 qui, jusque-là tournait au-dessus de la zone. Le pilote utilise son stylo lance-fusée pour aider le repérage et guide l'équipage du C 135 par radio. Après deux passes de reconnaissance, ce dernier largue l'équipement de survie, appelé « chaîne SATER » qui aidera le survivor à tenir jusqu'à l'arrivée des secours, après une nuit dans le désert.

05h30 : Le jour s'est levé. Un C160 Transall survole le pilote une première fois, puis largue des parachutistes au deuxième passage. 1,2,3,4,5,… 16 voiles ponctuent le ciel. Pieds à terre, les parachutistes se divisent en deux groupes. Le premier se dirige vers l'épave pour sécuriser la zone et récupérer la boîte noire. L'autre groupe met le pilote à l'abri pour établir un bilan de santé rapide et lui poser une attelle de fortune.
Un C160 Transall largue une citerne de carburant pour les hélicoptères qui approchent. Dès leur arrivée, l'équipe médicale embarque le blessé sur une civière. Après avoir fait le plein, les Puma emmènent le pilote sur le terrain le plus proche pour le transférer par Transall vers le centre médico-chirurgical de la base de Kosseï.

Texte : LTT Sabrina Pawlak

http://www.cawa.fr/au-coeur-d-un-exercice-de-recherche-et-de-sauvetage-d-un-pilote-synd00127738.html

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